[238] 48. Unterricht an des Königs von Gross-Britannien Mahler 1
Fußnoten
1 Monsieur le Clerc, welcher diese Uberschrifft in der Ubersetzung gesehen, hat dieselbe nicht allein in seinem Mercure Historique et Politique vom Monat October 1699 angezogen, sondern auch hievon Gelegenheit genommen in seinen Reflexions über denselben Monat seinen eignen Landsmann den P. Bouhours durch die Hechel zu ziehen. Seine Worte sind diese: S' il on doit juger, au reste, de l' Epigramme Allemande à la louange du Roy de la Grand'Bretagne, par les Traductions qu'on en voit, c'est une Piece qui merite les applaudissemens qu'on luy donne. L'Autheur a sçeu attraper le vray caractere de ce Monarque. On entrevoid bien, qu'il s'exprime d'une maniere aussi fine qu'elle est naturelle et naive. Si le P. Bouhours la voyoit, il ne mettroit point en question je m'asseure, si un Allemand peut être bel Esprit, comme il a fait dans ses Entretiens d'Ariste et d'Eugene. Il avoueroit que l'Esprit est de tout Päis. Diese Worte zu übersetzen, wäre die gröste Unhöflichkeit von der Welt, denn es würde scheinen, dass man von einem Deutschen Leser die üble Muhtmassung hätte, dass er nicht Frantzösch verstünde. Die Ubersetzungen der Uberschrifft aber welche man selbst zum Versuch gemacht hat, sind folgende: